Voilà un an que le tango, danse sociale par excellence, s’est arrêté; les bals, mais aussi les cours, les stages, les festivals et marathons, les spectacles, ont été annulés.
Un an plus tard, il apparaît essentiel de mettre en exergue l’absurdité du contraste entre certains secteurs réouverts et d’autres qui restent désespérément fermés. En dansant dans les interstices de lieux de passages denses de la ville, nous souhaitons montrer qu’il est possible de “faire culture” tout en respectant les mesures sanitaires. Une invitation à ne jamais renoncer au caractère essentiel du lien social et à la nécessité de continuer à danser nos vies!